Résumé :
Lucius Modestus, un architecte romain de l’Antiquité boudé par la profession décide d’aller se détendre aux thermes. Alors qu’il s’immerge dans l’eau, il se retrouve aussitôt transporté dans le temps et l’espace, atterrissant dans un bain public du Japon contemporain. Ces étranges voyages lui permettent de s’inspirer des inventions japonaises et des techniques modernes pour briller à Rome et s’attirer les faveurs de l’empereur Hadrien.
Auteur: Mari Yamazaki
Editeur : Casterman
Mon avis :
J’étais impatiente de découvrir ce manga au sujet très original! Publié à partir de 2009 au Japon, il a eu un succès phénoménal : plus d’un million de vente à la sortie de chacun de ses tomes. Je n’ai donc pas hésité quand j’ai (enfin) vu le premier tome à la librairie. Le deuxième tome est sorti en même temps mais je ne l’ai pas trouvé…
On suit les aventures de Lucius Modestus, jeune architecte à l’époque romaine, licencié de son atelier d’architecte à cause de son manque d’idée et de modernité. Un jour, qu’il se rend aux thermes, il se fait aspirer et se retrouve au 21ème siècle dans un bain au japon! Voyage temporel qui va se reproduire à chaque fois qu’il se rendra aux bains. A chacun de ses retours en Italie, Lucius va s’inspirer de tous ce qu’il a vu lors de ses voyages, pour innover, relancer sa carrière et se faire une réputation.
Je ne regrette absolument pas d’avoir acheté ce manga, car j’ai adoré! La mangaka a su marier avec originalité sa passion pour la culture occidentale et les bains. Son idée est très bien exploitée. les voyages temporels de Lucius donne lieu a une série de quiproquos très drôles. De plus la mangaka a un dessin très précis et agréable. Les décors sont dessinés avec beaucoup de soins, et les personnages romains sont clairement inspiré des statuts antiques. De nombreuses explications viennent compléter le récit en fin de chapitre pour permettre une meilleure compréhension du lecteur.
Du point de vue de l’édition, Casterman a très bien fait les choses. Le papier est épais et de bonne qualité. L’encre ne coule pas et les bulles ne sont pas coupées. La couverture est identique à l’édition japonaise et c’est une bonne chose car elle est très réussie.
En conclusion, j’ai passé un très bon moment en compagnie de Lucius! J’avais un peu peur de trouver l’histoire répétitive mais ce n’est finalement pas le cas. En plus très bonne nouvelle, la série va se terminer cette été au Japon en 6 tomes et Casterman est bien décidé à les publier rapidement : le 3ème tome est prévu en juin, le 4ème en octobre, le 5ème en janvier et enfin le 6ème en mars.
Je ne regrette absolument pas d’avoir acheté ce manga, car j’ai adoré! La mangaka a su marier avec originalité sa passion pour la culture occidentale et les bains. Son idée est très bien exploitée. les voyages temporels de Lucius donne lieu a une série de quiproquos très drôles. De plus la mangaka a un dessin très précis et agréable. Les décors sont dessinés avec beaucoup de soins, et les personnages romains sont clairement inspiré des statuts antiques. De nombreuses explications viennent compléter le récit en fin de chapitre pour permettre une meilleure compréhension du lecteur.
Du point de vue de l’édition, Casterman a très bien fait les choses. Le papier est épais et de bonne qualité. L’encre ne coule pas et les bulles ne sont pas coupées. La couverture est identique à l’édition japonaise et c’est une bonne chose car elle est très réussie.
En conclusion, j’ai passé un très bon moment en compagnie de Lucius! J’avais un peu peur de trouver l’histoire répétitive mais ce n’est finalement pas le cas. En plus très bonne nouvelle, la série va se terminer cette été au Japon en 6 tomes et Casterman est bien décidé à les publier rapidement : le 3ème tome est prévu en juin, le 4ème en octobre, le 5ème en janvier et enfin le 6ème en mars.
Note Finale :
5/5
Luna
Je n'avais encore jamais entendu parler de ce livre, mais tu me donnes très envie de le découvrir !
lilichat
Cette série est une belle découverte! J'ai lu, il y a peu le second tome, c'est toujours aussi bien, et l'humour est encore plus présent.