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1 seconde…
Ils peinent à reprendre leurs marques.
Ils sont les derniers survivants du programme Genesis. Après avoir
traversé un désert de solitude, ils sont emportés par un tourbillon de
célébrité.
Elle peine à reprendre son souffle.
Obsédée
par des questions sans réponse, Léonor refuse les honneurs et les
caméras. Le danger planant sur la planète bleue est-il vaincu pour
toujours ? Les secrets hantant la planète rouge sont-ils enfouis à
jamais ? Et si, d’un bout à l’autre du système solaire, tout pouvait
basculer à nouveau ?
Même si l’angoisse mène au bord de l’asphyxie, il est trop tôt pour respirer.
Après plusieurs mois d’attente…Le quatrième et dernier tome de Phobos est entre
mes mains ! Après la déception que j’ai ressentie à la
lecture du tome 3, j’avais hâte de découvrir ce que Victor Dixen nous avait concocté pour conclure cette saga
martienne en beauté.
On retrouve Léonor et les pionniers des deux saisons du programme Genesis dans la navette qui les ramène de
mars. Tous sont impatients de fouler de nouveau la terre
ferme, surtout Léonor qui aspire à retrouver sa vie loin des projecteurs. Mais rien ne va se passer comme prévu ! Kirsten est
obligée de rester dans la navette suite à son accouchement tout comme Marcus
qui est toujours la cible des trafiquants de drogue.
Ce tome de Phobos est un
beau pavé, mais il se lit sans mal. J’ai adoré retrouver nos
voyageurs de l’espace. De retour sur terre, chacun essaye de
jouer de sa notoriété, pour défendre des causes qui leur sont chères ou se
lancer dans des activités artistiques, via une chaîne YouTube. Mais les événements sur mars les poursuivent et ils doivent maintenant
rendre des comptes devant la justice.
J’ai lu très rapidement ce dernier tome. La
plume de Victor Dixen est toujours
aussi addictive et entraînante. J’ai pris plaisir à suivre
Léonor dans sa quête de vérité. Elle va retourner à Paris
pour enquêter et en savoir plus sur son passé. Les différentes histoires annexes sont aussi très sympas à suivre. Elle n’apporte pas grand chose à la trame principale, mais elles
permettent de rester encore un peu avec les différents pionniers. J’aurais pu arrêter mon avis là et il aurait été très positif. Malheureusement, les cent dernières pages m’ont fait revoir mon
jugement. Celles-ci m’ont laissé sur un sentiment d’intense
frustration et de déception. Le final est vraiment tiré par
les cheveux. Après réflexion, je pense que Victor Dixen n’a pas su comment terminer sa saga
ou n’a pas voulu mettre un vrai point final à Phobos. On sent qu’il a voulu apporter une conclusion satisfaisante (sans succès) pour les déçus
(dont moi) du tome 3, mais aussi se laisser une
échappatoire pour une éventuelle suite ou spin-off. J’ai
refermé le roman vexée avec la sensation de mettre fait avoir : 650 pages pour revenir au point de départ.
En conclusion, Phobos T4 est un tome final qui se lit facilement. Victor Dixen sait
parfaitement cerner les goûts et centre d’intérêt de ses lecteurs. C’est dynamique et dans l’air du temps.
Malheureusement, je n’ai pas été du tout convaincu par les derniers chapitres
qui me laissent penser que l’auteur n’est pas prêt de lâcher le filon Phobos
grand merci aux éditions Robert Laffont de m’avoir permis de lire ce
roman issue de sa collection à destination des jeunes adultes : la Collection R
saiwhisper
Raaaah purée, c'est ce que je craignais… Je n'ai pas encore acheté le dernier phobos (je vais le faire), mais j'ai peur que l'on se retrouve face à une énième fin ouverte. Final vraiment tiré par les cheveux + échappatoire pour spin off, ça m'agace un peu… :/ J'espère que je ne serai pas aussi déçue que toi et croise les doigts pour que ce soit terminé. Je n'aime pas les séries à rallonge. xD Là, quatre tomes + 1 annexe, c'est suffisant !
Bref, merci pour ton avis sincère qui montre aussi bien du positif que du négatif. :*
lilichat
De rien^^
C'est vraiment l'avis que je n'avais pas envie d'écrire car j'avais adoré les deux premiers tomes + Origines. J'attendais une fin à la hauteur malheureusement ce n'est pas le cas. En tout cas pour moi. D'autres lecteurs ont adoré.